Aux éditions Gallmeister
Il n’y a pas grand-chose à rajouter à la quatrième de couverture pour ne pas tout dévoiler, sauf peut-être que nous ne pouvons lâcher le livre une fois commencé : l’écriture très fluide nous transporte à la lisière de cette forêt, dans une certaine quiétude du quotidien. Mais le monde devient de plus en plus hostile, et la tension monte crescendo : on ne cesse de se demander où l’auteure va nous mener.
Dans la lignée de « La route » et « Le mur invisible ».
Très grand roman.